Bonne fête, maman Chérie
A la place du cœur/Tu as le cœur / De toutes les mères/ De l’univers./Bonne fête,/Maman chérie.
A la place du cœur/Tu as le cœur / De toutes les mères/ De l’univers./Bonne fête,/Maman chérie.
Actuellement où la tension entre le président de la République, très jaloux de son pouvoir, et le président de l’assemblée nationale, soupçonné de trop convoiter ce pouvoir, semble s’exacerber, on est tenté de se demander des deux, que tout unit et oppose (ça pu déjà l’hypocrisie entre les deux, comme par hasard), qui a raison ? Eh bien :
Le vrai ministre enfin se met naturellement, humblement et automatiquement au service des gens. En véritable Premier Ministre, dénomination qui n’est pas fortuite car elle signifie premier serviteur à la différence de président qui a une connotation de despote,de tyran, de profiteur, Jésus donna une leçon de service par cette affirmation :
L’Homme ou l’autre est au centre des préoccupations des vrais ministres. Avec eux tout est une question de logique car en effet, comment peut-on venir en aide à une personne sans l’écouter auparavant pour connaître sa souffrance parce que ce qu’on peut voir ou qu’on semble savoir d’une personne n’est pas forcement la réalité ?
Une fois n’est pas coutume, j’ai décidé de visiter le mystère du ministère ou du service. Le ministre est une personne qui se met au service des autres. Exerçant un service public, le président de la République, comme le simple ministre (évidemment) ou toute autre autorité sont tous des ministres. Normalement motivé par des charges et des obligations, le ministre a pourtant tendance à réaliser le contraire de ses fonctions.
Tant de pluies / Ne t’ont pas autant fertilisé / Que le sang Kara versé sur ta terre/Tant d’engrais / N’ont pas autant nourri ton sol/Que la sueur de tes filles et fils...
Gare rayée de la carte, bouillie renversée, pancartes de cabine cellulaire brisées, conteneurs écrabouillés, baraques fracassées, étales et fours réduits à néant, salon de coiffure démolis, maquis désossés et pouffes éparpillés, devantures de magasins rasées, fondations tournées, écrasée, retournés et savamment rassemblée en gravats sur lesquelles trônent fièrement de vieilles tôles.
Un jour on pleure/ Un jour on rit/Toujours on vit /La vie est Belle,/Belle est la vie,/Vie est la belle,/La belle, c’est toi./Et toi, c’est moi !